Doit-on réécrire nos livres pour ne pas offenser les sensibilités ?
À l’heure où un projet français vise à interdire par la loi la réécriture des classiques par les « Sensitivity Readers », les opinions se crispent et s’affrontent sur une question vieille comme le monde : que faire des œuvres qui offensent les sensibilités ? Toucher aux œuvres que nous connaissons et apprécions, n’est-ce pas altérer notre patrimoine culturel ?